[ad_1] M. Guterres a fermement condamné les attaques, qui se sont produites les 29 et 30 novembre dans les villages de Kishishe et Bambo, situés dans le territoire de Rutshuru, province du Nord-Kivu, dans la partie instable de l'est du pays. Au moins 131 civils ont été tués, dont 17 femmes et 12 enfants, et huit autres ont été blessés. Soutien aux enquêtes "Le Secrétaire général exprime ses plus sincères condoléances aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux blessés", a déclaré vendredi le porte-parole de l'ONU, Stéphane Dujarric. « Il se félicite de la décision des autorités congolaises d'enquêter sur ces incidents en vue de traduire en justice les responsables présumés. Entre-temps, le bureau des droits de l'homme de l'ONU en RDC et son opération de maintien de la paix, la MONUSCO, continueront de soutenir le gouvernement dans ces efforts. Arrêtez les hostilités maintenant "Le Secrétaire général exhorte le M23 et tous les autres groupes armés à cesser immédiatement les hostilités et à désarmer sans condition", poursuit le communiqué. M. Guterres a également appelé toutes les parties à faciliter l'accès humanitaire aux communautés touchées et à assurer la protection des civils et le respect du droit international humanitaire. Il a également souligné l'engagement continu de l'ONU à soutenir le gouvernement et le peuple congolais dans leurs efforts pour instaurer la paix et la stabilité dans l'est du pays. Ces attaques sont les dernières d'une série de violences infligées aux civils par des groupes armés dans l'est de la RDC. Vendredi, le chef de la MONUSCO, Bintou Keita, a informé le Conseil de sécurité de l'ONU à New York. Elle a déclaré aux ambassadeurs que la situation sécuritaire dans l'est de la RDC « s'est considérablement détériorée » au cours des dernières semaines. [ad_2] Source link