On estime que 100 millions d’agriculteurs familiaux dans 80 pays dépendent directement de l’industrie du coton, dans laquelle les femmes jouent un rôle clé.
Le coton soutient les économies de nombreux pays à faible revenu et émergents.
L’année dernière, il a contribué pour environ 50 milliards de dollars à leur soutien économique – et 20 milliards de dollars au commerce mondial, selon la FAO.
De plus, il joue un rôle important dans le développement social et économique, le commerce international et la réduction de la pauvreté, et il contribue au Programme de développement durable à l’horizon 2030 et aux Objectifs de développement durable (ODD).
Culturellement important
L’importance culturelle du coton, avec ses racines au cœur de la civilisation humaine, a été reconnue par l’Assemblée générale en août 2021, lorsqu’elle a proclamé le 7 octobre de chaque année Journée mondiale du coton.
C’est la plus importante des fibres naturelles, utilisée quotidiennement dans les vêtements et l’ameublement, et représente une importante source de revenus d’exportation pour certains des pays les plus pauvres du monde.
Les défis abondent
La journée souligne la nécessité d’un secteur du coton durable qui améliore la production, la nutrition, l’environnement et la vie, en ne laissant personne de côté.
Cependant, la volatilité des prix du marché, le changement climatique, les ravageurs, les maladies, le COVID et le ralentissement économique mondial font partie des problèmes auxquels le secteur est actuellement confronté.
En outre, le coton est confronté à un certain nombre d’incertitudes, tant du côté de la production que de la demande, qui doivent être correctement prises en compte si le secteur veut réaliser son plein potentiel pour soutenir la croissance économique et le développement durable.
Des investissements plus importants sont nécessaires pour étendre le secteur au-delà de la production de coton brut et créer de nouvelles opportunités de revenus, en particulier pour les agriculteurs, en ajoutant plus de valeur à la fibre de coton et en développant des sous-produits à partir d’autres parties de la plante de coton.
Merveilles du coton
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Le coton fournit des emplois et des revenus à des millions de petits exploitants, de travailleurs et à leurs familles.
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Il représente une source importante de recettes en devises pour les pays à faible revenu,
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Et offre un moyen de répondre aux préoccupations de développement plus larges pour autonomiser les femmes et stimuler l’emploi des jeunes.
Intensifier
Les agences des Nations Unies ont travaillé dans le cadre de la mission d’optimiser la production et d’améliorer les capacités de transformation locales, ainsi que de discuter des réformes nécessaires pour lutter contre les barrières commerciales élevées et les inégalités pour les producteurs de coton des pays en développement. Ces efforts remontent à 2003 dans le cadre de l’Initiative coton.
Et la FAO offre depuis longtemps aux pays en développement un soutien technique et politique pour stimuler la productivité et créer davantage d’opportunités dans la chaîne de valeur du coton.
Boubaker Ben Belhassen, Directeur de la Division des marchés et du commerce de la FAO, a rappelé que l’objectif de la célébration mondiale est « d’attirer l’attention sur les centaines de millions de personnes dans le monde qui gagnent leur vie grâce à la chaîne de valeur du coton », et de souligner la contribution du secteur. au développement.
Cultiver la fibre
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Des technologies et des ressources innovantes sont essentielles pour garantir que le secteur reste viable et durable.
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Des investissements sont nécessaires pour développer le secteur et créer de nouvelles opportunités de revenus en développant des sous-produits à partir d’autres parties de la plante de coton.
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Un système commercial international du coton ouvert, équitable, prévisible et transparent est essentiel pour soutenir des centaines de millions de personnes vulnérables.
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Les mesures de soutien interne sont essentielles pour empêcher les distorsions des échanges et autres distorsions du marché d’entraver les avantages de la libéralisation des échanges.